La pâtisserie traditionnelle française a déjà fait rêver la plupart d’entre nous quand nous étions encore des enfants. En ces temps-là, nous avons eu l’embarras du choix entre un Saint-honoré et un framboisier. Pour ces gâteaux délicieux, voici quelques secrets de fabrication qui sont maintenant portés à la connaissance du public.
Quelques lignes sur la pâtisserie
La pâtisserie est un art souvent considéré comme nécessitant une grande précision comme en mathématiques. Cette branche de la gastronomie n’est maîtrisée que par des artistes. Les pâtissiers de l’Hexagone ont même su défier les lois de la pesanteur lors de concours internationaux et ont remporté un prix. Auparavant, ce sont les Romains qui ont découvert la toute première galette au miel et aux céréales. Le savoir-faire a su se développer depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours.
Quid des crèmes ?
Pour faire simple, une pâte ajoutée à de la crème donne un gâteau. Le principe est de savoir simplement utiliser les recettes de base. Dans la crème au beurre, la saveur et la texture sont riches. Elle peut être aromatisée au café dans un Opéra ou à la pistache s’il s’agit d’un framboisier. Afin de l’alléger, il est possible d’ajouter 2 blancs d’œuf en neige à chaque kilo. Quant à la crème pâtissière, le lait entier est recommandé afin d’avoir une texture onctueuse.
D’autres secrets
Pour la Peau d’Ane, il faut ajouter de la crème au beurre au quart de la proportion totale de la crème pâtissière. La mousseline obtenue sera parfaite pour le Fraisier ou le Paris-Brest. La meringue italienne, quant à elle, donnera une Chiboust, à l’effigie d’un Saint-Honoré. Toutefois, il importe de rappeler que ces crèmes ne doivent pas excéder les 48 heures de rangement au frais. En ce qui concerne la pâte à chou, il est conseillé de bien assécher la pâte.
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